—Stuart O’Grady
Le 120e Paris - Foubaix se tiendra aujourd'hui, sur un parcours de 256,6 km qui s'étend de Compiègne au vélodrome de Roubaix et avec 54,5 km de pavés.
L'un des 29 secteurs du menu - Haspres - revient à la course près de deux décennies après sa dernière apparition.
Paris-Roubaix a été inauguré en 1896, ce qui en fait l'une des plus anciennes courses de vélo au monde.
Cependant, il a fallu jusqu'en 2021 pour une course féminine pour être organisée.
Né d'une histoire familière impliquant des types d'entreprises, des journaux et des systèmes de distribution d'argent, au fil du temps, Paris-Roubaix est venu à adopter des surnoms comme la «reine des classiques» et «l'enfer du nord», et reste l'une des membres
les plus prestigieuses victoires à remporter dans les courses de vélo Pro.
L'épicacité de Paris-Roubaix a peu d'égal dans le monde du cyclisme, et le dimanche de Pâques pour les amateurs de deux roues peut être résumé en un mot: pavés. La reine des classiques apporte avec des endroits légendaires tels que la forêt Arenberg et le vélodrome de Roubaix, où les cavaliers se disputent la victoire.
L'itinéraire du classique français couvre 256,6 kilomètres, dont 54 sont pavés. Nouveau pour 2023 est le retour de la section Haspres, après environ 20 ans d'absence. Il y aura 29 sections pavés entre le début à Compiegne, au nord de Paris, et l'arrivée dans le vélodrome de Roubaix. Les forêts, le pavé et la boue cauchemardesque, en cas de pluie, rendront Roubaix aussi imprévisible que jamais.
Le gagnant obtient son nom gravé sur une plaque dans les douches à l'arrivée, afin que ceux qui lavent la boue de leurs visages puissent voir un nom dans le stand qui pourrait leur appartenir.
Qui sera le vainqueur de cette année?